Qu’apporte la formation ?
« Je redécouvre ma mission »
Mon regard sur le monde contemporain et mon intérêt pour les hommes et les femmes de notre temps sont renouvelés. Cela réveille mes dynamismes et me redonne optimisme : l’avenir est possible plus ouvert que nous ne le croyons. Je redécouvre ma mission. Dans un monde mieux connu, avec un regard plus lucide et une culture plus ouverte, je serai plus serein et plus dynamique ; merci pour ces deux ans de chemins d’humanité.
Pierre-Marie, diocèse d’Arras
Un regard vrai sur la place de l’homme dans le monde de l’entreprise et de l’économie.
Yvain, diocèse de Moulins
Elle nous donne des points de repère, des outils d’analyse sur la manière dont nous exerçons la pastorale, je souhaite à tous mes confrères d’avoir la chance de suivre cette formation.
Gérard, diocèse d’Arras
La perception de notre engagement dans le ministère paroissial s’en trouve stimulée. Vie avec nos équipes, concrétisation de projets, audace pour réaliser de l’inédit, qualité de présence dans les relations : l’évangélisation aussi est une affaire pétrie d’humanité.
Antoine, diocèse de Nanterre
Le projet n’est pas de faire de nous des managers, mais de sensibiliser le plus possible à la réalité de l’entreprise : nous redécouvrons sa rude complexité, mais aussi toutes ses possibles et riches ressources. Il y a là des chemins inattendus où se croisent nos humanités jusqu’en cette dimension étonnante d’un vrai enjeu spirituel immergé dans le défi d’entreprendre.
Raphaël, diocèse de Grenoble
J’ai beaucoup apprécié tous ces regards croisés sur la réalité de l’entreprise et la gestion du pays. C’est une ouverture « dynamisante » pour le prêtre que je suis, parce que nous recevons des informations de première main. Tous les intervenants nous enrichissent par leur expérience et leurs réflexions.
Cela fait bien sûr écho à ce que je peux vivre en paroisse. Chemins d’Humanité n’apporte pas des « trucs » nouveaux, mais un nouvel état d’esprit qui permet d’aborder avec un autre état d’esprit nos contraintes habituelles.
Ce parcours m’a apporté plus de sérénité, des éléments précieux d’analyse et parfois des outils pour avancer. Si je ne sais pas toujours bien les manier, au moins, je sais qu’ils existent et que je peux faire appel à des personnes plus compétentes que moi dans certains domaines.
Paul, diocèse de Metz
Comment se passe la formation ?
Trois temps différents dans chaque module : des témoins, des essais de mise en perspective, des visites « sur le terrain » :
La rencontre de témoins de haute volée est impressionnante, qu’ils soient dirigeants, syndicaliste, banquier, créateur d’entreprise en pleine réussite ou en échec ; le temps pris pour resituer les questions à un autre niveau, est appréciable, les visites de « terrain » permettent une appréhension complète.
Daniel, diocèse de Lille
Une occasion d’approfondir ma connaissance du monde dans lequel nous vivons par un parcours très concret et des rencontres impossibles à vivre autrement.
Jean-Claude, diocèse de Strasbourg
L’effet miroir par rapport à nos activités paroissiales fonctionne en continu dans toutes les rencontres. A force d’être aiguisé pendant 6 semaines, il va continuer à fonctionner !
Antoine, diocèse de Nanterre
Quelques outils en gestion et en management , mais aussi des rencontres :
Bilans, comptes d’exploitation, des éléments se mettent en place grâce à une méthode progressive et vivante ; et puis ce sont des rencontres, car ces « chemins » sont habités, rencontres de personnes qui nous disent leurs espérances, leurs souffrances, leur énergie à participer à la vie collective.
Patrick, diocèse de Versailles
Beaucoup d’outils ont été donnés, à chaque module nous avons reçu des instruments efficaces et ils me serviront certainement .
Côme-Damien, diocèse d’Evry
Temps de rencontre et de découverte ensemble des différents aspects de la vie économique par une pédagogie où tous étaient acteurs. Le travail en équipes, le partage, l’échange des différentes connaissance, tout cela était très précieux.
Bertrand, diocèse de Rouen
Chemins d’humanité vient-il augmenter la pression dans un emploi du temps déjà surchargé ?
« C’est au contraire un ballon d’oxygène, un temps de recul précieux ».
Nos sessions ont été l‘occasion que je pose mes valises une semaine pour faire un break dans mon ministère ; je revenais plus disponible, ce rendez-vous donné par Chemins d’Humanité avec le groupe sympathique et fraternel que nous formions valait vraiment le coup d’être pris, ça m’a aidé.
Christophe, diocèse de Lille
Permet de lever la tête du guidon pour prendre du recul dans la pastorale, de partager avec d’autres prêtres (brassage).
Vincent, Congrégation de la Mission
Y a t il un profil type pour participer ?
Pas de profil type, c’est la diversité qui fait la richesse : du curé de paroisse au professeur de théologie en passant par l’aumônier de prison ou le responsable de la pastorale des jeunes…
Ce qui rassemble les participants, c’est leur motivation pour suivre le cycle ; priorité est néanmoins donnée aux prêtres de moins de 55 ans, ce qui fait des promotions assez jeunes.
C’est une trouvaille que de faire se rassembler des « gars » hors frontière et hors sensibilité ecclésiale. Changer de lieu, de structure, permet de prendre de la hauteur, du recul, et de relativiser beaucoup de choses.
Henry, Cté de l’Emmanuel
Ce que je retiens de cette formation, c’est aussi la fraternité que nous vivons entre prêtres, nous sommes tous très différents mais tous se sentent acceptés, je crois qu’on peut parler d’unité, de communion ; je retiens la joie de cette vie d’unité comme un appel pour notre vie de prêtres au sein du presbyterium.
Jean Luc, diocèse de Laval
Ce qui m’a frappé le plus, à part l’excellente organisation, la compétence pédagogique et la qualité humaine de l’équipe d’animation, ce fut le climat de convivialité fraternelle qui s’est créé parmi les participants venant de plusieurs régions de France et de l’Etranger.
Pédro, diocèse de Rome
Ce brassage aura été pour moi une manière concrète de vivre la fraternité sacerdotale.
François, diocèse de Lyon